The Text as Labyrinth
Résumé
The labyrinth seems to me to provide a symbol both of the reflexivity in literature and in the arts and of the emotion that the work of art can provoke. I discuss the terminology of the "mise en abyme" by Gide and after a reflection on the passage of the Iliad where the construction of Daedalus is mentioned, perhaps more complex than it has been perceived, I analyze several passages from Greek novels in which ekphrasis causes a labyrinthine effect of vertigo (in Achille Tatius and Heliodorus). The article ends with the dizzying effect produced by the last scene of the film The Lady from Shanghai by Orson Welles.
Le labyrinthe me semble fournir un symbole à la fois de la réflexivité en littérature et dans les arts et de l'émotion que l'œuvre d'art peut provoquer. Je discute la terminologie de la "mise en abyme" par Gide et après une réflexion sur le passage de l'Iliade où la construction de Dédale est mentionnée, plus complexe peut-être qu'on ne l'a perçu, j'analyse plusieurs passages des romans grecs dans lesquels l'ekphrasis provoque un effet de vertige labyrinthique (chez Achille Tatius et Héliodore). L'article se termine sur l'effet vertigineux que produit la dernière scène du film La dame de Shanghaï d'Orson Welles.
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