Se contrôler à l’adolescence. Entre contraintes cérébrales et possibilités environnementales. - Université Grenoble Alpes Accéder directement au contenu
Article Dans Une Revue Les cahiers dynamiques Année : 2017

Se contrôler à l’adolescence. Entre contraintes cérébrales et possibilités environnementales.

Résumé

Imaginons une situation où un adolescent est confronté à un choix : suivre ses copains qui vont « faire une connerie » ou les attendre tranquillement sur un banc. La première option requiert un effort physique plus grand, mais la seconde demande un effort mental plus important : se retenir. En psychologie, l’inhibition se définit comme la capacité à se retenir, c’est-à-dire la capacité à supprimer une réponse prédominante ou automatique. Être capable de se retenir se décline à la fois sur les plans cognitif, émotionnel et comportemental. Ces trois types d’inhibition constituent ce que l’on appelle plus couramment le self-control, le contrôle de soi ou encore la capacité de régulation.
Fichier non déposé

Dates et versions

hal-01844267 , version 1 (19-07-2018)

Identifiants

Citer

Mael Virat, Jérôme Clerc. Se contrôler à l’adolescence. Entre contraintes cérébrales et possibilités environnementales.. Les cahiers dynamiques, 2017, 71 (1), ⟨10.3917/lcd.071.0033⟩. ⟨hal-01844267⟩
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