Globalisation économique, facteur d'inégalités - Université Grenoble Alpes Accéder directement au contenu
Pré-Publication, Document De Travail Année : 2019

Globalisation économique, facteur d'inégalités

Résumé

Economic globalization is a powerful factor of vertical and national inequalities, but also of a slow reduction of international horizontal inequalities. Growing inequalities in wealth compounds increasing income inequality. However, the market economy does not work without the support of the states, which, indirectly at least, by establishing the laws favours or supports this situation. Today, the process of globalization has changed the balance of power. The "possessors" have means of communication to support their actions, they justify their wealth through a questionable value system and they continue to develop their wealth at irrational levels of inequality. The runoff theory is only a decoy that justifies the current situation by a better situation for everyone tomorrow. Inter-state organizations are under the orders of liberalism. Companies remain hooked on the idea of maximum profit, by applying violent management rules. The indicators (HDI, Human Development Index or IBN, Index of well-being) and the qualitative expressions of poverty are debatable and testify especially to the durability of this one. The example of poverty in the United States is significant of power relations (sex, territories, gender, etc.)
La globalisation économique est un facteur puissant d’inégalités verticales et nationales, mais aussi d’arasement des inégalités horizontales internationales. A l’augmentation des inégalités de revenus se conjuguent les inégalités croissantes des patrimoines. Or, l’économie de marché ne fonctionne pas sans le soutien de l’Etat, lequel, indirectement au moins, en établissant les lois favorise ou soutient cette situation. Aujourd’hui, le processus de la globalisation a modifié les rapports de force. Les « possédants » disposent des moyens de communication pour valoriser leurs actions, ils justifient leurs richesses par un système de valeur discutable et ils continuer à justifier leurs richesses à des niveaux d’inégalités irrationnelles. La théorie du ruissellement n’est qu’un leurre qu’un discours qui justifie la situation actuelle par une situation meilleure pour tout le monde demain. Les organisations interétatiques sont aux ordres du libéralisme. Les entreprises restent accrochées à l’idée du maximum de profit, en appliquant des règles de management discutables. Les indicateurs (IDH, Indice de développement humain ou IBN, Indice de bien-être) et les expressions qualitatives de la pauvreté sont discutables et témoignent surtout de la pérennité de celle-ci. L’exemple de la pauvreté aux Etats-Unis est significative des relations de pouvoir (sexe, territoires, genre, etc.)
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1. La globalisation du marché, comme facteur de paupérisation relative.16.pdf (1000.06 Ko) Télécharger le fichier
Origine : Fichiers produits par l'(les) auteur(s)
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Dates et versions

hal-02142671 , version 1 (28-05-2019)

Identifiants

  • HAL Id : hal-02142671 , version 1

Citer

Jacques Fontanel. Globalisation économique, facteur d'inégalités. 2019. ⟨hal-02142671⟩

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