Du « squat » au « bien » : Ex facto oritur jus - Université Grenoble Alpes Accéder directement au contenu
Article Dans Une Revue La Semaine Juridique. Administrations et collectivités territoriales Année : 2006

Du « squat » au « bien » : Ex facto oritur jus

Résumé

« La tolérance des autorités de l'État » conduit la Cour européenne des droits de l'homme à reconnaître à l'occupant sans titre d'un terrain public « un intérêt patrimonial relatif à son habitation » suffisant pour constituer un « bien » au sens du Protocole n° 1. Cette solution, qui tranche sur la jurisprudence française, suscite des interprétations contradictoires : protection des « squatters », voire encouragement du « squat » ? Ou incitation à une gestion domaniale plus vigilante ?

Domaines

Droit
Fichier non déposé

Dates et versions

hal-02101229 , version 1 (16-04-2019)

Identifiants

  • HAL Id : hal-02101229 , version 1

Citer

Philippe Yolka. Du « squat » au « bien » : Ex facto oritur jus : note sous CEDH, 30 nov. 2004, n° 48939/99, Öneryildiz c/ Turquie. La Semaine Juridique. Administrations et collectivités territoriales, 2006, 1, pp.1002. ⟨hal-02101229⟩

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