L. Revue-indépendante, , vol.4, p.195

L. Revue-indépendante, , p.39

L. Revue-indépendante, , p.247

L. Revue-indépendante, , pp.40-41

». Article-repris-dans-«-crayonné-au-théâtre and O. Complètes, , pp.196-197

L. Revue-indépendante, , vol.8, p.369

L. Revue-indépendante, , vol.4, p.194

L. Revue-indépendante, , p.250

». «-chronique-de-paris, L. D. Mode, and O. Complètes, , p.496

B. Roland, à propos de la mise en scène du Songe des prisonniers, de Cristopher Fry, par Jean-Louis Barrault, en 1955 : « La vaccine de l'avant-garde », Écrits sur le théâtre, éd, p.157, 2002.

L. Revue-indépendante, , p.58

. Idem,

». «-crayonné-au-théâtre and . Oeuvres, Les « Notes sur le théâtre » parlaient d'une « libre vision spirituelle », La Revue indépendante, n° 5, mars 1887, p.388

L. Revue-indépendante, , p.246

L. Revue-indépendante, , vol.3, pp.57-58

, Francisque Sarcey commence ainsi son compte-rendu : « Hamlet ! voyez-vous, c'est plus fort que moi

, Je ne suis pas assez dépourvu de toute intelligence et de tout goût littéraire pour ne pas sentir, même à la traduction, l'extrême mérite de certains morceaux, pour ne pas être transporté par la grandeur de quelques scènes, (Quarante ans de théâtre : feuilletons dramatiques. La tragédie, pp.356-357

. «-revue-dramatique, La Revue des deux mondes, septembre-octobre 1886, op. cit., t. 77, p.938

L. Revue-indépendante, , p.39

. «-menus-propos--le-théâtre, , p.1890

L. Revue-indépendante, , vol.8, p.369

P. De-stéphane and . En-spectateur-le-lieu-;-mais-dans-le-fait-qu'elle-puisse-constituer-un-modèle-d'expérience-esthétique, contrairement à celui des autres comédiens de la Comédie-Française, a évité un double écueil : incarner de manière vraisemblable des personnages qui sont « à demi mêlé[s] à de l'abstraction » ; vouloir « bien jouer » mais sans « comprendre 60 », et donc faire des contresens. Autrement dit, ce n'est pas en donnant trop de relief aux personnages que l'on peut remplacer la lecture et légitimer la représentation, mais bien en signalant leur dimension allégorique? D'une certaine manière, la seule chose que la scène peut apporter, c'est une meilleure compréhension des enjeux symboliques de l'intrigue, grâce à une traduction sensible des enjeux intimes de la pièce : Mounet-Sully est un « souverain plastique et mental de l'art », il est à la fois un « mime » et un « penseur 61 ». La représentation n'a donc d'intérêt que dans la mesure où elle peut aider ceux qui ne savent ni déchiffrer directement le théâtre de la nature, des occasions manquées « d'initiation et de joie 53 » rend ainsi plus remarquable encore son choix de ne pas exclure le principe du passage à la scène des grands textes dramatiques. La promotion de la lecture ne se fait donc pas dans le rejet de la représentation

L. Revue-indépendante, , p.246

L. Revue-indépendante, , vol.4, p.195

. De-l, inutilité absolue de la mise en scène exacte », La Revue d'art dramatique, 1 er mai 1891, Genève Slatkine reprints, vol.22, p.181, 1971.

L. Revue-indépendante, , p.41

L. Revue-indépendante, , vol.6, p.60

. Antoine, invention de la mise en scène : anthologie des textes d'André Antoine, p.113, 1999.

J. Copeau, I. Registres, . Appels, and G. Paris, , p.26, 1974.