«. Xxix-andré-bazin, ». Ontologie-de-l'image-photographique, I. Qu'est-ce, and C. Paris, Voir Caroline Eades, Françoise Létoublon, Sylvie Rollet, « Pères et fils : le royaume des ombres chez Angelopoulos », L'ombre de l'image, de la falsification à l'infigurable, sous la direction de Murielle Gagnebain, de C. Eades, « Un chemin tout tracé: espace politique et itinéraires symboliques dans Le Regard d'Ulysse et L'Éternité et un jour, vol.9, pp.67-71, 1983.

L. Xxx-françoise-létoublon and . Fraisse, Proust et la descente aux enfers : les souvenirs symboliques de la Nekuia d'Homère dans la Recherche du temps perdu, pp.1056-1085, 1997.

, xxxi Le nom même de l'avenue parisienne est significativement associé aux scènes de nekuia chez Proust

, Est-ce bien le mot étourderie qu'ils emploient ? n'est-ce pas parce que le texte étant resté inachevé en raison de la mort de Proust, celui-ci n'a pu évidemment le relire ? Oui c'est probable, je ne peux pas retourner encore à la Bibliothèque, xxxii Les éditeurs signalent d'ailleurs que Proust a fait paraître dans cette soirée certains personnages dont la mort avait été signalée auparavant

. Bouleversement-de-toute-ma-personne, Mais à peine eûs-je touché le premier bouton de ma bottine, ma poitrine s'enfla, remplie d'une présence inconnue, divine, des sanglots me secouèrent, des larmes ruisselèrent de mes yeux. L'être qui venait à me secours, qui me sauvait de la sécheresse de l'âme, c'était celui qui, plusieurs années auparavant, dans un moment de détresse et de solitude identiques, était entré? » (SG II, III, 152-153) pour le début de la scène de nekuia, « Mais, dès que je fus arrivé à m'endormir, à cette heure, plus véridique, où mes yeux se fermèrent aux choses du dehors, le monde du sommeil (sur le seuil duquel l'intelligence et la volonté momentanément paralysées ne pouvaient plus me disputer à la cruauté de mes impressions véritables), refléta, réfracta la douloureuse synthèse enfin reformée de la survivance et du néant, dans la profondeur organique et devenue translucide des viscères mystérieusement éclairés. » (SG II, III, 157) pour la partie centrale consacrée au sommeil, et surtout aussitôt après : « Monde du sommeil, où la connaissance interne, placée sous la dépendance trouble de nos organes, accélère le rythme du coeur ou de la respiration, parce qu'une même dose d'effroi, de tristesse, de remords, agit, avec une puissance centuplée [?] ; dès que, pour y parcourir les artères de la cité souterraine, nous nous sommes embarqués sur les flots noirs de notre propre sang comme sur un Léthé intérieur aux multiples replis, de grandes figures solennelles nous apparaissent, nous abordent et nous quittent, Dès la première nuit, comme je souffrais d'une crise de fatigue cardiaque, tâchant de dompter ma souffrance, je me baissai avec lenteur et prudence pour me déchausser

, xxxiv « Mais déjà j'avais retraversé le fleuve aux ténébreux méandres, j'étais remonté à la surface où s'ouvre le monde des vivants, » (SG, vol.159

C. Eades and F. Létoublon, « Les cirés jaunes d'Angelopoulos » n'a pas été encore publié en français mais il l'a été en anglais, « From Film analysis to oral-formulaic theory : The Case of Yellow Oliskins » in Contextualizing Classics. Ideology, performance, dialogue. Essays in honor of

T. M. Falkner, N. Felson, and D. Konstman, « Dall'analisi filmica alla teoria orale formulare : il caso delle cerate gialle, Apo ti filmiki analysi stin prophoriki-typologiki theoria », in Thodoros Aggelopoulos, pp.43-59, 1999.

. Xxxvi-c'est-À-cette-question-qu'elle-répond-«-l'éternité,

, Le Regard d'Ulysse, au cours d'une séquence située à Belgrade avec un journaliste, ami de ses années d'études à Paris, Angelopoulos évoque les petites amies qu'ils ont connues à Paris, dans une suite de prénoms féminins, puis les cinéastes préférés, un trio symbolique encore: Eisenstein, Kurosawa, Orson Welles? xxxviii Voir Françoise Létoublon, « Le miroir et la boucle, comme celles des Manakis dans Le Regard d'Ulysse, constituent les modèles de référence du cinéaste, pp.210-227, 1983.